Je tombe par hasard sur le site de ton ami Valentin, en me demandant si je peux me permettre de traiter un ami de « Ignatius Reilly ». Je tombe sur ce site, donc. Je lis ton article.
Aimes-tu ton Valentin (oui, formule quelque peu pléonastique si on la prend au pied de la lettre) ? Car si tel est le cas, le qualifier d’Ignatius Reilly est tout sauf un compliment amical (constructif qui plus est).
En effet, mis à part le fait qu’il écrit à longueur de journée dans ses cahiers « Big Chief », Ignatius est un vrai imbécile, d’où le nom du roman, et son côté révolutionnaire-réactionnaire (oxymore cette fois, quoique Toole mette bien en valeur cette caractéristique particulière du personnage) fait de lui un personnage particulièrement désagréable.
Cela étant dit, je ne saurais m’attarder.
Je suis sûre que ton Valentin n’est pas de ce genre et si ce n’est pas le cas, je te prie de me prévenir afin que ce site atteigne douloureusement ma liste rouge.
Très cher Jean-Robert,
Je tombe par hasard sur le site de ton ami Valentin, en me demandant si je peux me permettre de traiter un ami de « Ignatius Reilly ». Je tombe sur ce site, donc. Je lis ton article. Aimes-tu ton Valentin (oui, formule quelque peu pléonastique si on la prend au pied de la lettre) ? Car si tel est le cas, le qualifier d’Ignatius Reilly est tout sauf un compliment amical (constructif qui plus est). En effet, mis à part le fait qu’il écrit à longueur de journée dans ses cahiers « Big Chief », Ignatius est un vrai imbécile, d’où le nom du roman, et son côté révolutionnaire-réactionnaire (oxymore cette fois, quoique Toole mette bien en valeur cette caractéristique particulière du personnage) fait de lui un personnage particulièrement désagréable.
Cela étant dit, je ne saurais m’attarder. Je suis sûre que ton Valentin n’est pas de ce genre et si ce n’est pas le cas, je te prie de me prévenir afin que ce site atteigne douloureusement ma liste rouge.
Toolement,
Roberte-Jeanne (pour vous servir).