Vous avez raison de le souligner, la perte d’immédiateté (pour ne pas dire, d’humanité) dans les cultures musicales de consommation s’est faite en plusieurs étapes : avènement de l’électronique, puis du numérique, puis du traitement en temps réel. Je l’évoque allusivement ici, ainsi que dans un autre article.
Ce qui ne rend que plus préoccupante, à mon sens, l’émergence dans de nombreux conservatoires, depuis une quinzaine d’années, de classes d’« informatique musicale » qui, à mon sens, ne sont qu’un alibi parfaitement démago. (Et je vais encore me faire plein de copains parmi mes collègues en tenant ce genre de propos...)
Bonjour DM,
Vous avez raison de le souligner, la perte d’immédiateté (pour ne pas dire, d’humanité) dans les cultures musicales de consommation s’est faite en plusieurs étapes : avènement de l’électronique, puis du numérique, puis du traitement en temps réel. Je l’évoque allusivement ici, ainsi que dans un autre article.
Ce qui ne rend que plus préoccupante, à mon sens, l’émergence dans de nombreux conservatoires, depuis une quinzaine d’années, de classes d’« informatique musicale » qui, à mon sens, ne sont qu’un alibi parfaitement démago. (Et je vais encore me faire plein de copains parmi mes collègues en tenant ce genre de propos...)