en somme, vous distinguez : le « siteur » - pardon, [Le Siteur], exprimant son Moi-dans-l’Absolu (?), domicilié virtuellement en face - ou, disons-le tout à trac, à l’étage du dessus, par rapport au « blogueur » dont les posts ne sauraient refléter que de volatiles émanescences égotistes, l’écume des jours...
Je ne saurais, je vous l’avoue, respirer sur ces hauteurs olympiennes où l’oxygène est raréfié. Je quitte l’absolu pour redescendre dans l’éphémère revendiqué du BLOG, le mien, celui de votre maman comme vous l’écrivez...
Il y a en vous un côté « Je hais le mouvement qui déplace les lignes », d’un anachronisme surprenant à mon sens.
Bonsoir
en somme, vous distinguez : le « siteur » - pardon, [Le Siteur], exprimant son Moi-dans-l’Absolu (?), domicilié virtuellement en face - ou, disons-le tout à trac, à l’étage du dessus, par rapport au « blogueur » dont les posts ne sauraient refléter que de volatiles émanescences égotistes, l’écume des jours... Je ne saurais, je vous l’avoue, respirer sur ces hauteurs olympiennes où l’oxygène est raréfié. Je quitte l’absolu pour redescendre dans l’éphémère revendiqué du BLOG, le mien, celui de votre maman comme vous l’écrivez... Il y a en vous un côté « Je hais le mouvement qui déplace les lignes », d’un anachronisme surprenant à mon sens.
Voir en ligne : http://oulipia.free.fr/